« Les anciens parlent d'un dénommé Sicetti, patron du bar de la place, vannier
et musicien amateur qui animait les bals et les fêtes en grattant sur son violon.
Sur sa tombe, il fit graver "ici gît Sicetti, dit "le vénard" qui mourut ni trop tôt,
ni trop tard, passants qui lisez ceci, tôt ou tard vous mourrez aussi". » |
![]() Théo Battaglini au bar Taxil (septembre 1972). |
Sans remonter aussi loin (les années qui ont suivi la Grande Guerre)...
« Qui ne se souvient pas du petit café qui a été tenu par Sicetti -
Mme Perrier - Titine - Brunet - Pessègue - M. Taxil et par
son fils Raymond. » (d'après "Monographie des Salles-sur-Verdon", racontée par M. Simian François, ex-instituteur à l'Ecole Communale des Salles-sur-Verdon) |
Fin des années 60 : Jean-Gil Boeuf et Jean-Michel Minini. |
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