Numéro 4, août 2002. |
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Editorial : les réponses à toutes vos questions.... | ||
Dossier : le bon vieux temps. Ahhh... en ce temps-là... ! |
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Les alambics des Salles-sur-Verdon. Comment fonctionnaient-ils ? |
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...« Mémoire Vive » prend de la hauteur ! Après la "photo qui vole bas"... |
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Nouveau village : on construit.
« Mémoire Vive », c'est aussi l'histoire du nouveau village. |
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Après 1851... 1852 évidemment.
Etait-il facile d’être républicain en 1851 ? |
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Le Sallois sans peine...
...grâce à « La méthode à Mémé » ! (suite) |
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Jeux : mots croisés, « qui est qui ? »
Des jeux 100% sallois ! |
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Opinions.
Extrait des messages reçus par l’association. |
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Nouvelles de l’association... Adhésions... Internet....
...Les rubriques habituelles de « Mémoire Vive ». |
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Appel à témoins. | ||
Errata.
Correction des erreurs du numéro 3. |
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Dans le prochain numéro de « Mémoire Vive »... |
Editorial : les réponses à toutes vos questions Mais pourquoi « Mémoire Vive » ne paraît-il pas plus souvent ? Mais pourquoi n’y a-t-il pas eu un « Mémoire Vive » au printemps ? Mais quand paraîtra le prochain numéro de « Mémoire Vive » ?
Un numéro de « Mémoire Vive » représente plus d’un mois de travail ininterrompu
en respectant une cadence quotidienne soutenue.
On peut donc en déduire qu’un bagnard travaillant avec vaillance et
se consacrant intégralement à ce travail réussirait peut-être à produire un
« Mémoire Vive » mensuel... (Retour Sommaire). |
DOSSIER
« En ce temps-là, la vie était plus belle... ».
Pourtant la vie d’autrefois était dure dans l’ancien village et
l’existence des agriculteurs, rythmée par les saisons, était difficile.
L’essentiel de l’activité était constitué des tâches traditionnelles d’agriculture et
d’élevage, mais heureusement la vallée était fertile : on pouvait espérer
des récoltes substantielles, à condition de travailler intensément,
et les spécificités de la région, lavande et truffes, permettaient d’améliorer
l’ordinaire.
Ci-dessous, au début des années 1940, une séance de labourage utilisant
un attelage de boeufs mené par le petit Elie Bourjac, aidé d’Aimé Bourjac
et de Jean Amand.
Ci-dessous, le même endroit en 1971. C’est "Ritou" Anot qui avait labouré
ce même champ cette année-là. Avec les moyens modernes des années 1970,
il fallait plus de 26 heures pour labourer cet immense champ, qui dominait le village
et s’étendait jusqu’au pigeonnier... c'est dire la peine que devaient avoir
les laboureurs des années 40 ci-dessus. Pour la petite histoire, "Ritou" Anot
a perdu son portefeuille en labourant cet immense champ... il l'a retrouvé un an
plus tard !
Ces deux images pourraient faire penser que les techniques agricoles étaient
très retardées dans l'ancien village... Il n'en est rien :
les Sallois n'étaient pas des "ploucs", et ils avaient su évoluer pour tirer parti
du modernisme ; François Simian remarque ainsi, dans
"Monographie des Salles-sur-Verdon",
que les Sallois possédaient seize tracteurs peu de temps avant le barrage,
soit un pour dix habitants environ. Pas de doute, Les Salles-sur-Verdon était
bien un village d'agriculteurs...
Ci-dessus, fin des années 1930, Claire Boeuf appuyée contre un pailler
se trouvant route du Riou, et ci-dessous en 1964, Marie-Hélène Ribaud et
Sylviane Gombert devant un pailler situé sur les aires. Ces paillers ont disparu
dans la deuxième partie des années 1960, après l'introduction des moissonneuses-batteuses.
Ci-dessous, dans les années 1930, Lucien Laugier, Maria Laugier et "Sultan"
occupés à fouler le blé près de "l’aire de Signoret". A cette époque,
les moissonneuses-batteuses n’existaient pas, et pour séparer les grains de blé
de la paille, on utilisait aux Salles une meule de pierre montée sur un chariot
en bois et tirée par un cheval ; celui-ci tournait inlassablement en rond
autour d’un poteau central.
Ci-dessous, Elie Bourjac abreuvant son cheval dans la fontaine de la calade en 1964.
Image suivante, le "Grand Louis", le jeune André Bousquet et Félicien Bagarre
dit le "raplot" au cours des vendanges en 1963. Ci-dessous, Jean Amand et son attelage double.
L’élevage des moutons était une activité essentielle du village.
Dans les années 1960, il y avait encore aux Salles-sur-Verdon cinq troupeaux
de moutons : ceux des familles Boeuf, Bourjac, Faye, Ribaud et Viada.
Ci-dessous, récolte de lavande dans les années 1930. On reconnaît
de gauche à droite Mélanie Bagarry, Augustin Bagarry dit "Le Palud",
et les parents de Robert Carbonnel, Marcelle et Ernest. Ci-dessous, deux des alambics des Salles-sur-Verdon où étaient distillées les lavandes de la région, celui de la famille Ribaud et celui de la famille Taxil.
Le village produisait plus de huit tonnes d’essence de lavande chaque année.
La quantité d'essence obtenue dépend de la fleur distillée ;
il faut environ cent kilos de lavande, ou bien cinquante kilos de lavandin,
pour produire un seul litre d’essence. On imagine donc l'énorme quantité
de bottes de lavandes coupées qui convergeait vers le village au mois d'août...
et ça sentait bon ! Ci-dessous, Augustin Bagarry, dit "Le Palud", en pleine action. Image suivante : Roger Ribaud et "Sophie", un couple d’une redoutable efficacité dans cette recherche qui est devenue, au dire des spécialistes, de plus en plus difficile au fil du temps.
D’après François Simian
("Monographie des Salles-sur-Verdon"),
l’ancien village produisait annuellement quatre tonnes de truffes ;
pour les non-initiés, il s’agit bien des fameuses truffes noires du Périgord,
dont le nom scientifique est "Tuber melanosporum".
Ci-dessous, au cours d'une fête de la Sainte-Anne au début des années 1930,
la jeunesse du village devant la poste : de gauche à droite, Marie Paix,
Marcelle Boeuf, Claire Gombert, Jacqueline Millot, Rose Bagarre et Raymonde Mouraire.
Quelques années plus tard, ces jeunes filles porteront respectivement les noms de Brunet,
Carbonnel, Boeuf, Fredenucci, Ravel et Simian. Ci-dessous, Sainte-Anne 1971 : qui a mémorisé le nom du vainqueur de la "course à l’oeuf" ?
Ci-dessous, devant l’école du village, le concours de boules de la Sainte-Anne
en 1961 ; on reconnaît, de gauche à droite, Achille Simon, Gilbert Plumet,
Jean-Claude Paix (assis), "le Grand-Louis", François Simian, Ernest Carbonnel,
Marie-Louise Bousquet. Les anciens se souviennent que c’est Henri Constant
qui s’apprêtait à jouer. Ils n’ont pas mémorisé ce qui est advenu par la suite,
preuve que ce point n’est pas entré dans l’histoire...
On peut reconnaître ci-dessous, devant l’Auberge du Coin Perdu, Fernandel venu
tourner en 1966 un téléfilm sous la direction de Peter Yates (qui deviendra
célèbre ultérieurement en réalisant la fameuse poursuite à
San Francisco dans "Bullit"). Les images tournées avec Fernandel, sur les galets
de Garuby au bord du Verdon, n’ont jamais été diffusées pour le grand public,
et ce film produit par la télévision anglaise n’a apparemment jamais vu le jour.
Autour de Fernandel, de gauche à droite, Jean Thomas, Renée Dulieu, Germaine Anot,
Marius "Mius" Chauvin (partiellement caché), Marie-Jeanne Thomas et Anthime Dulieu.
Le pont de Garuby et le pont d'Aiguines étaient les lieux de baignade estivale
pour les Sallois. Au pont de Garuby, Fernandel joue au pêcheur à la ligne
pour les besoins du tournage ; devant le pont d'Aiguines, c'est bien le futur
maire des Salles-sur-Verdon, Jean Gombert, qui se livre à la même activité.
Jean Gombert a exercé deux mandats de maire entre 1959 et 1971. Après chaque été revenait la période des vendanges.
Ci-dessous, le même Jean Gombert et son fils Michel, transportant des caisses
de raisins et entrant dans le village par la route d'Aiguines en 1963. Image suivante,
dans la "ruelle d'Irma", Anna et Antonin Paix procèdent au pressage des raisins...
mais d'après les connaisseurs, le vignoble des Salles-sur-Verdon ne produisait pas
un grand cru.
Contrairement au vin, le pain était très apprécié. "Pain au levain Four au bois",
pouvait-on lire devant la boulangerie. Maxime Taxil (ci-dessous aidé
de son fils André) a fait vivre cette tradition jusqu'à la fin de l'ancien village. Sur la route qui mène au "vallat"...
Quelques mètres plus loin, on découvrait la route des alambics et le hangar d'Elie Bourjac. En face du hangar et au coin du "vallat", la route des Iscles descendait au bord du Verdon. Images suivantes : c'est la fin de l'été aux Salles-sur-Verdon... Les images de ce dossier ont été réalisées par (ordre alphabétique) : René Battaglini, André Coldeboeuf, Jean-Jacques Grézoux, François Maurin, Gabriel Mirande, Maurice Provost, Gérard Ribaud, Marthe Ribaud, Paul Teulade. Le nom du photographe n'a pas été mémorisé pour les photographies retrouvées par Claire Boeuf, Elie Bourjac, Robert Carbonnel, Henri Constant, Magali Gombert, Jean-Michel Minini, Paul Perrier, Gérard Ribaud, Marthe Ribaud, François Simian. « Mémoire Vive » adresse des remerciements à tou(te)s pour leur contribution à ce dossier. (Retour Sommaire). |
D’après les anciens, sept alambics fonctionnaient autrefois dans la commune ;
au cours des dernières années de l'ancien village, trois alambics sont restés
en activité : ceux des familles Taxil, Richard et Ribaud, dans l'ordre
sur la "route des alambics" en partant du village.
Nous passons sur les détails... les manomètres permettant de connaître
la pression de la vapeur, le four en briques réfractaires, les dispositifs
d'alimentation de ce four et d'évacuation des cendres, les tuyaux permettant
de véhiculer vapeurs et liquides, les accessoires de chargement et de déchargement,
treuils, chaînes, plateaux...
Première étape : le remplissage de la cuve. Un plateau métallique,
relié par trois chaînes au sommet de la cuve, est disposé au fond de celle-ci.
Les bottes de lavande sont placées sur ce plateau. Ci-dessous, Roger Ribaud
range dans le fond de la cuve les bottes de lavande à distiller.
Il ne faisait pas froid dans la cuve... Même avec les épaisses semelles
de ses chaussures, Roger Ribaud aurait eu bien du mal à rester plus de quelques minutes
dans cette position.
Troisième étape : lever le panier, qui pèse ici deux cent cinquante kilos,
à l'aide du treuil. Hooo-hisse... L'opération ne présente aucune difficulté
lorsqu'elle est réalisée par Robert et Roger Ribaud (ci-dessous).
Dans quelques minutes, la cuve sera à nouveau remplie de lavandes à distiller.
La cuve de l'alambic Taxil contenait quatre cent cinquante kilos de lavande,
et celle de l'alambic Richard, plus récente, était encore plus volumineuse. |
Quelle transition rêvée avec le dossier consacré au "bon vieux temps"
que cette image des Salles-sur-Verdon au milieu de la vallée verdoyante...
Sur cette photographie prise d’avion, nulle trace du nouveau village,
aucun signe de la destruction qui va suivre... Tous les toits sont encore couverts
de tuiles, la végétation qui entoure le village est encore intacte.
Ci-dessous, le paysage a déjà changé en juin 1973 :
les constructions du nouveau village sont déjà visibles
et la végétation du fond de la vallée a déjà partiellement disparu... Vue du haut du clocher, la vallée en direction du nouveau village. Vue du haut du clocher, la vallée vers Garuby et Sainte-Croix.
Ci-dessous : aïe... huit mois plus tard (9 février 1974), ce sont exactement
les mêmes points de vue que les paysages verdoyants présentés ci-dessus... |
En novembre 1971, les bâtiments publics sont en construction, et rien n'est encore achevé. La vie se poursuit à l'ancien village du "bon vieux temps". Rares sont les Sallois qui "montent" voir ce lieu bizarre où l'on met du béton au milieu des chênes truffiers. La mairie, l'église, la poste et la salle des fêtes sont les seules constructions réalisées. Dans ces quelques pages, nous vous présentons ces premières constructions du nouveau village... et pour vous aider à les identifier, une photographie du même lieu aujourd'hui (placer le curseur de la souris sur l'image pour voir la différence avant/maintenant). (Placer le curseur sur l'image pour faire la comparaison "1971/2001") (Placer le curseur sur l'image pour faire la comparaison "1971/2001") (Placer le curseur sur l'image pour faire la comparaison "1971/2001") (Placer le curseur sur l'image pour faire la comparaison "1971/2001") |
Rappel des épisodes précédents :
la révolution de 1848 a instauré un régime dans lequel le président de la République
est non rééligible, élu pour 4 ans ; celui-ci, Louis Napoléon Bonaparte,
réalise un coup d'état le 2 décembre 1851 pour se maintenir au pouvoir.
Dans l'ensemble du Var, et aux Salles sous la conduite de Paulin Guichard,
président de la société secrète locale, les républicains manifestent pour défendre
la démocratie et la République (lire
« Mémoire Vive » numéro 2).
Massacrés à la bataille d’Aups, emprisonnés ou déportés, les partisans de la République
allaient mettre une vingtaine d’années à s’en remettre... DE MONSEIGNEUR L’EVÊQUE DE FREJUS Réflexions sur les circonstances présentes. Nos Très Chers Frères, ( 1 ) Il y a quinze jours, trois semaines, le présent et l’avenir étaient bien sombres. Les nuages s’entrechoquaient. Les bruits lointains, d’instant en instant plus formidables, se rapprochaient, retentissant coup sur coup. Des éclairs à droite, à gauche, dans toutes les directions, sillonnaient l’espace à travers les ténèbres. C’était l’ouragan qui venait, l’ouragan qui allait fondre sur la France et sur l’Europe. Qu’allons-nous voir, disiez-vous, et que restera-t-il de nous et de la société après son passage ? (...) Ceux qui avaient écrit partout les mots de liberté, égalité, fraternité n’oublièrent que de les graver dans leur coeur. Au lieu de liberté, ils ne prenaient pour eux que la licence, et ne destinaient aux autres que la servitude et la terreur. Pour réaliser leur chimérique égalité, ils rêvaient des spoliations plus ou moins palliées par eux (...). Leur fraternité, c’était la haine de tout ce qui pouvait faire le moindre obstacle à leurs dévorantes convoitises. (...) Ah ! nous avons vu de près ces doctrines, dans leurs plus immédiates et plus pratiques conséquences. (...) De pauvres femmes, au moindre désir manifesté par elles de remplir un devoir religieux, accablées de menaces et de mauvais traitement par le tyran de leurs jours (...) ; de pauvres enfants empêchés de recevoir l’instruction chrétienne (...) ; des nouveaux-nés privés du baptême par des pères qui défendaient qu’on en fit des chrétiens, à moins de leur imposer quelques-uns de ces noms hideux de la première ou de la seconde révolution (...) ; des instituteurs sommés par des pères, par des mères, en présence de tous leurs élèves réunis, de ne faire et de ne souffrir, pour ces malheureux enfants, aucune espèce d’exercice religieux (...) ; des jeunes filles malades, implorant avec larmes la présence d’un prêtre avant de mourir, et ne recevant que des dérisions et des outrages pour toute réponse ; une mère, une vieille mère, obligée, par l’état de sa fortune, de passer ses derniers jours sous le toit impie, inhumain de son gendre et de sa fille, demandant en grâce, à sa dernière heure les consolations de la religion et n’obtenant (...) qu’un sec et dur refus (...) ; ailleurs, des spéculateurs en débauche, des cabaretiers éhontés, appelant, des villes voisines, des femmes immondes comme eux, pour en faire l’ornement et l’appât de leurs bouges infects, et leur immoler tout ce qu’il est possible d’attirer de jeunes gens déjà perdus et d’adolescents sans expérience ; (...) frémissez d’horreur, vous le pouvez ; mais reconnaissez où ces prédicants sauvages nous conduisaient, et ce que peut devenir un peuple, quand il se détache du nom de Dieu. Mais pitié, pitié cependant (...) car la plupart ne savaient pas ce qu’ils faisaient. (...) Les grands coupables, ce sont ces agitateurs des grandes et des petites villes (...). Les grands coupables, les plus pervers de tous, ce sont ces pestes publiques, ces journaux sans foi et sans conscience (...). Du sang a coulé. (...) Il n'était point, hélas ! innocent comme celui d'Abel (...). Détestables entrepreneurs de bouleversements sans fin, brochuriers, journalistes grands et petits, (...) discoureurs de tribune et d'associations impies, fabricants de mensonges et promoteurs de tous les genres de scandales, meneurs publics et agents secrets (...) c'est vous que ce sang accuse. (...) Ecrivains, chefs de secte, excitateurs publics, séducteurs occultes, vous tous, organisateurs et conseillers du crime, vos victimes vous ajournent au tribunal de Dieu ! (...)
Cette lettre a été reçue aux Salles fin décembre 1851. Paulin Guichard
n'était pas présent pour écouter sa lecture dans l'église des Salles...
Pour lui comme pour les sympathisants des cinquante membres de la société
secrète républicaine des Salles qui avaient échappé aux condamnations, l'année 1852
a dû être bien difficile... (1) Cette lettre sera lue en chaire dans toutes les églises et chapelles du Diocèse. Nous défendons strictement d’y rien ajouter (comme aussi d’en rien retrancher), si ce n’est dans les communautés religieuses de femmes. Remarque : le lecteur nous en sera sans doute reconnaissant, « Mémoire Vive » n’a pas respecté cette interdiction et a scandaleusement tronqué ce document de 13 pages... La version intégrale de l’original est à la disposition des curieux. Suite du texte. |
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Verticalement
Solution de ces mots croisés dans « Mémoire Vive » n°5 ! NB : Le jeu "Qui est qui ?" de la version papier du « Mémoire Vive » numéro 4, n'est pas disponible dans cette version Web (pour le consulter, contacter l'association). Solution des mots croisés de « Mémoire Vive » n°3 : Horizontalement I Paulin Guichard. II Annulé. NN. Oie. III Neige. Disculpé. IV « Té ! ». Ré. Leu. V Ace. Corsé. B-D. VI Bidouré. Île. VII Bonaparte. Exil. VIII Ado. Eta. CRS. Ci. IX Coup d’état. Trav. X Mie. Iris. Air. XI EN. Loto. Anne. XII Evasion. Neiges. Verticalement 1 Pansa. Bâchée. 2 Âne. Clodo. 3 Unité. Nouméa. 4 Luge. B-A. Pins. 5 Île. Bipède. 6 Né. Date. « L-O ». 7 Décoration. 8 Uni. Out. Art. 9 Insurrection. 10 SE. 11 Houle. Est. Aï. 12 Aile. IX. Rang. 13 Républicaine. 14 Délivrés. |
L'association a organisé du 6 au 12 mai 2002 la « Semaine de la Mémoire »,
manifestation retraçant l'histoire récente du village à travers de
multiples évocations : les articles de presse qui ont été consacrés au sujet,
les maquettes (et les brillants commentaires) de Serge Trigance, les photographies
de Serge Periot et Jean-Jacques Grézoux, le film "Mémoire d'un village"
de Bernard Mariotti, l'animation "Un village d'agriculteurs aux portes des Gorges
du Verdon". Plus d'un millier de visiteurs se sont longuement attardés à l'exposition,
et plusieurs centaines ont assisté aux séances de projection ;
des séances supplémentaires ont même dû être organisées à leur demande.
Ci-dessous, l'opinion des visiteurs à travers quelques messages qu'ils ont laissés...
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Vous disposez de documents (articles de journaux, photographies, livres, etc.)
ou vous avez des anecdotes susceptibles d'intéresser « Mémoire Vive »,
contactez-nous :
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A notre grand regret, quelques erreurs se sont malencontreusement glissées
dans la version "papier" du n°3 de « Mémoire Vive ». En effet, nous avions écrit
page 32 que le premier véhicule automobile était celui d'Amédée Richard.
Nous confirmons... cependant, Yves Richard nous informe qu'il s'agissait
d'un tricycle "Bugatti" et non d'une "Mona Quatre", qu'Amédée Richard
a possédée ultérieurement. |
Dans le prochain numéro de « Mémoire Vive »... Editorial : un « Mémoire Vive » bien tristounet... Dossier : les dernières fois. Dernier Noël, dernier réveillon, dernier printemps, dernier été... Quand était-ce ? Les mots croisés de « Mémoire Vive ». Les mots croisés des "dernières fois" ! Un tout nouveau jeu : "LE SCHMILBLIC". Encore un jeu 100% sallois... Les centenaires des Salles. Né(e)s au village en 1902 ! La vie de l'association, les nouveaux membres... ...les rubriques habituelles ! Le prochain numéro de « Mémoire Vive » ? Quand est-ce ? Dans quelques mois... Si vous souhaitez collaborer à ce prochain numéro, n'hésitez pas à nous faire signe... Association « Mémoire des Salles-sur-Verdon » Place Sainte-Anne, 83630 Les Salles-sur-Verdon e-mail : |
Cet article n'est pas disponible sur Internet. Si vous souhaitez prendre connaissance de son contenu, consultez l'association. Merci.) (Retour Sommaire) |